Grâce à des caractéristiques mécaniques alliant une très bonne conductivité électrique et une bonne résistance aux températures élevées, cet alliage de cuivre conserve une dureté pouvant atteindre 170 HB. Ces atouts destinent ce métal à des applications de niches demandant une qualité de production optimale.
Exploité pour des applications demandant une conductivité électrique et thermique aux caractéristiques élevées, le CuCoNiBe dispose d'une bonne résistance globale à l'usure.
Le CuCo2Be est un alliage de cuivre proposant une excellente conductibilité électrique et thermique ainsi que des propriétés mécaniques élevées
Le CuAg dispose d'une conductivité hors norme. L'ajout d’un faible pourcentage d'argent permet au cuivre d'être encore plus performant.
Les alliages grade titane sont d’une grande ductilité, alliant une résistance face à la corrosion et une très bonne biocompatibilité.
Durant une grande partie de notre aire congédié au rang de métal rare, le molybdène n’est devenu populaire qu’au début de XXe siècle et notamment lors de la Grande Guerre où il fut utilisé comme substitut au tungstène dans les aciers.
Le titane a comme numéro atomique le 22 et comme symbole Ti. Il se classe 4ème dans la liste des métaux après le fer, l’aluminium et le magnésium. Le titane est le 9ème élément le plus abondant dans la croute terrestre et le 5ème métal le plus abondant (0,63%). Il est composé de 54% à 90% de TiO2 en masse.
LE CUIVRE ET SES ALLIAGES CONTRE LES EPIDEMIES ET PANDEMIES REPÈRES Bien que l’homme ait découvert l’alliage cuivre-étain durant l’Âge du bronze 3 500 ans avant J.C., les [...]
Le cuivre et les alliages de cuivre sont utilisés depuis plus de 10 000 ans. Que ce soit dans l'industrie, dans la sculpture, on retrouve ces éléments partout . Retour sur les propriétés de ces métaux hors-norme à base de cuivre, de bronze, de laitons ou d'aluminium.
Ce procédé permet de réaliser des assemblages continus ou discontinus par superposition, pour la soudure par molette en ce que la localisation du courant et de l’effort sur la zone de soudage n’est pas obtenue par les électrodes, du fait de la géométrie des pièces à souder elles-mêmes.
